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Bourgogne-Franche-Comté

En 2 clics, venez participer et construire les stratégies numériques de vos territoires ! => Nous c’est Fait

mardi 28 mars 2017 / libellé : Sciences et société par admin BFC

I. DIAGNOSTIC

Une stratégie numérique efficace doit s’appuyer sur une vision globale du numérique dans son territoire. Ajouter une "surcouche numérique" par politique publique n’est plus satisfaisant : mutualiser les ressources entre politiques publiques et donc entre directions, s’appuyer sur les acteurs de son territoire sont autant de pistes à explorer par chacun. Pour cela, une cartographie des acteurs, les synergies à bâtir entre services, les relations avec d’autres collectivités sont à prendre en compte dans un diagnostic numérique du territoire. Afin de réaliser un diagnostic numérique ouvert, deux enjeux sont à considérer :

1. Sur son territoire, prendre en compte et tisser des liens avec les acteurs : D’après vous, comment créer et entretenir le lien avec les acteurs numériques de son territoire ?

2. En interne, intégrer une gouvernance du numérique qui soit pertinente et efficace : Selon vous, comment articuler de façon transverse une politique de services publics numériques prioritaires dans sa collectivité ? — — — —

De multiples expérimentations nous amènent à questionner la place de l’animation et de la représentativité des acteurs. Jusque ces dernières années, seuls les acteurs « historiques » possédant un bâti et se réclamant de la médiation numérique portaient la voix et les questionnement d’un tel secteur. Toutefois ceci nous permis de revenir sur les écueils d’un tel réseau :

1. - une coordination impossible au vu de la diversité des formes d’organisation et d’attentes

2. un manque de culture commune, de un projet politique, au-delà de la seule légitimé de posséder un lieu dédié.

3. un dispositif de formation inadéquat, peu flexible et très hiérarchique.

Comment renforcer un réseaux d’acteurs de la médiation numérique ? Une cartographie, humaine, vivante, incarnée … centrée sur la mise en réseau d’acteurs au niveau du bassin de vie (de la communauté d’agglomération au département). Bien que tous les regards se tournent vers cet objet numérique ultime, il est important d’affirmer que la mise en réseau est d’abord une posture. En créant des évènements sur le territoire, amenant les personnes à se renconter, à échanger, à à partager leur pratiques, cette cartographie deviendra d’abord un annuaire utilie aux personnes qui sont dedans. Aujourd’hui l’intelligence c’est le réseau (J. Weber), il s’agit d’accompagner chaque médiateur à se sentir appartenant à cette structure apprenante. Pour ceci, deux éléments doivent fondamentalement être créés :

1. - une cartographie des compétences, savoir ce que j’apporte et ce dont j’ai besoin. La première entrée dans réseau se fait par l’émission d’un besoin (compétence, formation, compagnonage, …).

2. - une monnaie virtuelle permettant à chacun de mesurer et de faire savoir ce qu’il apporte au réseau. Il s’agit bien sûr de compter son temps, mais probablement son apport en compétences, en innovation… Les rôles dans les groupes sociaux sont multiples et parfaitement identifiés. Il s’agit de permettre à chacun de connaître son rôle et de le valoriser sans jugement de valeurs entre les rôles (innovateurs, testeurs, relecteurs, diffuseurs, …) . Sous forme de badges, de crédits virtuels, d’avatars, … il est nécessaire de travailler sur ces métriques afin que chaque participant au réseau puisse valoriser (et se valoriser) sa part dans l’entreprise collective.

Ces missions doivent dans un premier temps s’appuyer sur des financements permettant à chacun d’exister dasn ce réseau. Les politique publiques précédentes ont montré la force d’un tel réseau quand il est financé (cyperbase, p@pi, epne, …) Aujourd’hui, bien que les financements sont rares, seules les structures suffisament importantes ou avec es modèles économiques alternatifs ont la possibilité e contribuer à une dynamique de réseaux. Ce phénomène d’exclusion crée aussi des habitudes de travail et de production très normées. Nous avons connu ce mouvement dans l’histoire du monde associatif, lors de sa professionalisation. Le permanent ayant pris le pas sur le bénévole, nous risquons de construire un monde où le consultant prend le pas sur l’animateur.

La gouvernance d’un tel réseau doit se penser, souple, ouverte vers l’éxtérieur et transparente. Dans un monde en tension qui ets bousculée par l’arrivée régulière de nouveaux hybrides, il est nécessaire d’expliciter les enjeux, postures et positionnement de chacun. A travers une charte intégrant des valeurs fortes telles que « l’éducation n’est pas une marchandise », « l’action sociale n’a pas vocation à être rentable », « le service aux publics est dirigé par les publics » … il s’agit, dasn le cadre de ce réseau, de donner un terrain de confiance et de dialogue. Une des missions de cette gouvernance est d’impliquer un nombre toujours croissants d’acteurs en intégrant les diversités de formes et d’espaces de médiation numérique. L’émergence d’une prise de conscience, puis de mise en place de politiques basées sur « une république numérique » appelent un constat, des besoins, des défis :

• Le constat se base sur l’appropriation du service « développement durable » dans les collectivité. Pensé comme un tout reposant sur une émancipation économique, écologique et sociale, le programme DD peut vite se résumer à une simple opération de tri sélectif. Celui qui au sommet de Rio nécessitait de de comprendre un défi dans sa complexité, peut ne devenir qu’une simple opération de communication. Même si la transversalité commence à nourrir des dispositifs opérants (les programmes de réussite éducative par exemple) il s’agit de travailler sur l’horizontalité des organisations.

• Les besoins font aussi émerger des besoins clairs, tant en terme de nouveaux métiers (agent de développement numérique du territoire, innovateurs publics, agent de médiation en ligne, …) que de nouveaux outils. En ceci une verticale au sein des services publics est aussi nécessaire.

• Le sentiment d’appartenance, de transparence, de compréhension et d’action sont l’essence même d’une posture numérique. Il s’agit donc de donner à chaque citoyen le sentiment et le pouvoir de dialoguer, d’agir et de créer avec sa collectivité territoriale. Car au-delà de la simple ritournelle « c’est publié, c’est donc publique », il s’agit de recentrer la citoyenneté du XXIe s. sur les efforts de médiation en acceptant la destruction du citoyen type. Il est plusieurs, littré ou pas trèsz jeune ou très vieux, s’appuyant sur la lecture, la parole, le faire, le compagnonage … Si la démocratie est le défi du vivre ensemble, la puissance du numérique pourrait nous permettre de créer des politiques réellement inclusives.

III - MUTUALISATION

Les stratégies d’usages et de services numériques n’ont pas vocation à s’adresser à un niveau de collectivité spécifique. Tous échelons, commune, communauté de communes, métropole, département ou région souhaitant mettre en place un schéma d’usages et services doit pouvoir se saisir de cette méthodologie. Il est donc nécessaire d’établir une gouvernance du numérique dans les territoires afin de favoriser la mutualisation des compétences entre les différents niveaux de collectivités et l’optimisation de leurs stratégies.

1. Selon vous, quels sont les secteurs concernés prioritairement par la mutualisation ?

2. Avez-vous déjà mené des processus de mutualisation et dans quels secteurs ?

— — — — Un des lieux prioritaires de la mutualisation de ressources serait le secteur de l’éducation, de la formation, de la médiation. A cela je pointe quelques éléments :

- les espaces de médiation sont souvent en retard sur les équipement des ménages, il est alors difficile de s’approprier, prévoir, accompagner des usages sans le matériel idoine.

- le temps de mobilisation de certains matériels est très varié mais finalement très faible en temps cumulé sur l’année. Les cartes Makey-makey peuvent illustrer ce phénomène

- les acteurs à s’équiper sur un même territoire sont proches sans se connaître. De l’école au centre de loisisrs, de l’epn à l’association de quartier, la circulation des moyens permet (au dela des coordinations comme effet rebond) d’une réelle réduction de couts à l’échelle d’un territoire.

On voit apparaître ainsi 3 propositions claires :

- creons un espace de mutualisation et de circulations de matériels, une coopérative, permet de réduire les couts et d’intégrer des services d’assurance et de prévisions

- ajoutons à cela un service de formation qui a pour but de proposer aussi une offre de services et d’appropriation auprès des coopérants. Ceux ci pourront ainsi se saisir plus facilement de nouvelles postures et de nouveaux outils.

- finalisons le tout avec des postes d’innovation et de braconnage culturel qui ont pour but de dénicher des usages émergents, mais aussi de faire de la veille, voire de créer des détournements technologiques créatifs. Ceci devient un centre de ressources et de formation, ouvert à tous, pouvant accompagner tout un bassin de vie à s’approprier le numérique en passant par les acteurs locaux.

IV – STRATEGIE LOCALE

Les besoins d’accompagnement de la population aux outils, cultures numériques et pratiques innovantes sont importants. Il est donc nécessaire de structurer une politique publique de la médiation numérique - entendue comme le secteur qui regroupe les structures, acteurs et initiatives oeuvrant à faciliter l’appropriation par les populations du numérique. Celle-ci devra aborder les questions de l’animation et la structuration du réseau d’acteurs, de la formation des médiateurs, de la complémentarité des activités proposées, des outils mise en oeuvre et du ciblage de public prioritaire. L’objectif est d’obtenir un maillage cohérent du territoire par des dispositifs de médiation au service de la population.

1. Comment mettre en place une stratégie locale pour la médiation numérique ? Quelles sont les priorités et les enjeux à prendre en compte ?

2. Dans vos territoires, quelles structures sont des acteurs de la médiation numérique ?

— — — —

Une stratégie locale pour la médiation numérique par d’abord d’une connaissance fine des acteurs, de leurs objectis, de leur publics et de leur surface de recouvrement. Il s’agit de bien se connaître et de bien compter. Ceci nécessite d’identifier toute forme informelle et non formelle de médiation au numérique, les diagnostics existants se réduisants souvent à la partie émergée de l’iceberg.

Celle ci se construit avec au centre des acteurs tiers déidés principalemeent à la fédération et à la criculation de l’information. Cette mission d’animation doit intégrer des acteurs et des postures radicalement opposés, ce jeu de diplomatie permet d’avoir une vision claire de la part de connaissance diffusée et reçue par la population.

Au regard de la dématérialisation des services de l’état, ce chantier est prioritaire. ; Les travaux sur les mécanismes d’exclusion générés ainsi sont suffisamment ancrés pour s’appuyer sur cette réalité : 80 % de nos efforts de médiation s’adressent à 20 % des public les plus déconnectés.

Les comités territoriaux numériques (CNNum de territoire) sont un bon outil de lecture, d’analyse et de création aux côtés des politiques publiques. Dotés de moyens et d’un indépendance rigoureuse, ces comités sont naturellement le lieu de dialogue et de concertation avec les territoires et les instances nationales.

Le réseau des Petits Débrouillards se trouve régulièrement à animer des groupes hybrides de réflexion et d’action sur des thématiques technoscientifiques.

Cet effort de médiation permanenet crée une posture inédite dans le paysage.

Contrib 2 En ex-Lorraine, à l’initiative des Petits Débrouillards, des acteurs se sont fédérés en un collectif de réflexion et d’action sur l’éducation au et par le numérique. Ce collectif informel, souple et agile intègre de plus en plus d’initiatives champardenaises et alsaciennes. Il développe une programmation événementielle et propose des espaces de débat et de construction des possibles sur la transition numérique.

Dans le Grand Est, il y a peu de structures institutionnalisées dédiées à l’éducation au numérique. Elles sont présentes dans les capitales des anciennes régions. Le collectif Add-on a aujourd’hui des difficultés à créer un travail commun avec les structures historiques de l’éducation populaire et n’est pas identifié par les politiques éducatives portées conjointement entre les collectivités, l’éducation nationale, l’enseignement supérieur et la recherche. Néanmoins, nous constatons que ces frontières entre les réseaux sont institutionnelles, puisque qu’individuellement, les membres des structures précitéesparticipent au collectif add-on. De même, il existe des partenariats ponctuels et bi-latéraux entre des structures. La difficulté est donc à fédérer au delà d’une ’’famille d’acteurs’’ dans une dynamique d’acculturation aux méthodologies de la transversalité, de la coopération et aux outils techniques les permettant, utilisées dans le collectif.

Sur ce constat, le collectif add-on souhaite s’emparer de la question de la littératie numérique et travailler sur les enjeux culturels liés. Depuis cinq ans, le réseau pré-existant des cyber bases et des cyber villages est démantelé. Pour autant, il offrait une large couverture territoriale, qui disparait avec lui. La majorité des investissements ont été réalisés dans les établissements d’apprentissage formels et dans des fablabs émergents. Ces derniers ont été soutenus par des investissements d’équipement et peinent aujourd’hui à élargir la base de leurs premières communautés, notamment sur le plan de l’équité territoriale, sociale, générationnelle ou encore culturelle. Dans le même temps, les membres du collectif Add-on ont investi en fonds propre ou grâce au soutien des investissements d’avenir dans la création d’outils pédagogiques, de médiation et de postures éducatives (ex. formation de médiateurs numériques). Mais aussi dans un travail d’ingénierie de la définition des compétences métiers utiles au territoire (ex. concierges du numérique, forgeurs du numérique, agent de développement des territoires numériques...). Sur ce double constat, un des enjeux pourrait être le soutien de la diffusion des investissements d’ores et déjà réalisés par les collectifs (gouvernance collective, formation, circulation des outils...). Cela pourrait se doubler de la création d’espaces de pratiques relais maillant le territoires (ex. incitation à l’ouverture et au partage des lieux de pratique existants, incitation à la formalisation des compétences métiers identifiés).

Sur le plan institutionnel, la médiation numérique n’est pas intégrée dans le contrat plan d’orientation du nouveau conseil régional Grand Est. Une des conséquence directe est que les formations labellisées et co-financées par la Grande École du Numérique sur des métiers de médiation ne sont ni cofinancées ni accompagnées par les institutions du territoire. Une autre illustration serait l’absence de politiques territoriales incitatives à l’émergence de projets d’activité numériques dans les structures de l’éducation non formelle ou dans les collectivités (ex. AAP animation numérique, AMI activité sur la médiation numérique...), à l’exception des politiques d’État (ex. Jeunesse & Sport).

Les questions politique de la médiation, de l’éducation et de la citoyenneté numérique pourraient être intégrées de manière automatique dans les composantes de la commission régionale des stratégies numériques (CRSN) qui est aujourd’hui en définition.

Les stratégies territoriales doivent mettre en évidence la diversité des acteurs agissant dans ces champs, notamment les acteurs associatifs. Si il y a une prise en compte par le développement économique de la relation aux usagers (ex. french tech), la question de l’appropriation citoyenne des technologies numériques nous apparait aujourd’hui invisibles des autres politiques publiques (éducation, citoyenneté...).

Pour changer cela nous proposons de nous inspirer de plusieurs initiatives qui nous semblent pertinentes :

= > des conseils numériques départementaux a l instar de celui de Seine Saint Denis mêlant des citoyens, des entreprises, des acteurs de la société civile et des qcteurs du monde de la culture

=> Un laboratoire régional de l innovation numérique publique de type ETALAB, ou celui de Bordeaux décline sur les territoires dans des hackathon d’intérêt général

= >Un maillage plus fin sur le territoire de personnes ressources, de compétences et de lieux ( MSAP de la poste, mediatheque, association d éducation populaire, FUN de lIA). Tout ceci accessible par une cartographie interactive et mise a jour regulierement.

= > un observatoire interactif de ce qui s expérimente, qui capitalise et qui pollinise les pratiques, constat , connaissance et actions.

Contrib 3

Le projet associatif du mouvement français des Petits Débrouillards vise à mettre les savoirs et savoir-faire scientifiques et techniques au service de savoir-être individuels et collectifs favorisant une société harmonieuse, respectueuse de ses membres et de son environnement naturel, économique, social et culturel. Par une éducation aux démarches scientifiques, expérimentales et raisonnées, le réseau des Petits Débrouillards contribue depuis sa création à développer l’esprit critique et à augmenter les capacités d’initiatives de chacun-e. Sa devise : faire pour comprendre, comprendre pour agir. Les Petits Débrouillards n’ont cessé de s’intéresser à l’informatique et aux technologies depuis leur fondation dans les années quatre-vingt. D’abord l’algorithmie, le binaire, et le fonctionnement de l’ordinateur, puis la compression MP3, les supports de l’information (CD-Rom, disques durs, etc. . . ). Aujourd’hui, c’est la question plus générale des usages et de la réappropriation du matériel qui s’ajoute à ses objets de vulgarisation. En tant qu’association d’éducation populaire, de culture scientifique et technique, le mouvement des Petits Débrouillards s’emploie donc à accompagner les usages du numérique et à faire vivre les débats sur les impacts de ces usages : comprendre comment ça marche et à quoi ça sert, comprendre la technique et son utilisation, ouvrir les ordinateurs, démonter les claviers, décrypter les réseaux sociaux et apprendre à les utiliser, être en capacité de faire des choix, …

Le réseau des Petits Débrouillards est présent dans les Hauts-de-France, en Normandie, Bretagne, Pays de la Loire, Île-de-France, Grand Est, Bourgogne- Franche-Comté, Auvergne-Rhône-Alpes, Nouvelle Aquitaine, Occitanie, Provence-Alpes-Côte d’Azur, La Réunion.

Il est animé par 2 300 adhérents, 110 administrateurs bénévoles, 48 membres des conseils scientifiques, 320 vacataires, 160 volontaires en service civique, 50 formateurs et 160 salariés permanents.

Plus de 4 000 partenaires : Etat, Europe, collectivités locales, associations, universités, collectifs citoyens, organismes de recherche, maisons de quartiers, établissements scolaires, équipements socio-culturels, établissements publics, entreprises.

Sur vos territoires, quels dispositifs ont été déployés ?

Quels principes devraient guider la mise en oeuvre des technologies citoyennes au service de la participation dans les territoires ? Les Petits Débrouillards ont définit un métier => Agent de développement numérique des territoires

Cette formation intensive est une formation sur la valorisation numérique des territoires intègre aujourd’hui la valorisation environnementale et socioéconomique du territoire, mais aussi la transition éco-énergétique et démocratique . Les apprenants accompagnerons donc les collectivités locales dans la mise en place de leurs démarches participatives numériques, aiderons à l’identification des communauté virtuelle d’un territoire etc... Cette formation dure 6 mois et ce déroulera à Nancy.

https://formations.debrouillonet.org/

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